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Le cinéma n'a pas encore commencé
Publié le 12 mars 2024 – Mis à jour le 12 mars 2024
le 15 mars 2024
(8 Av. de Saint-Mandé, 75012 Paris)
salle de projection de la Cinémathèque Universitaire
A partir de 09h00
Université Sorbonne Nouvelle – Campus Nation(8 Av. de Saint-Mandé, 75012 Paris)
salle de projection de la Cinémathèque Universitaire
Journée d'étude
Première étape d’un questionnement sur l’axe « utopies de l’art du cinéma », la journée d’étude du 15 mars 2024 emprunte son titre à un propos du cinéaste Nicholas Ray, inattendu de la part d’un réalisateur pris dans le système de production hollywoodien, où il se sentit à l’étroit.
Elle explorera plusieurs propositions d’élargissements des ambitions artistiques du cinéma à partir de démarches singulières. Ainsi : Abel Gance, après son monumental Napoléon vu par Abel Gance (1927), cherchant à repousser ses limites techniques en déployant des inventions techniques commandées par les ambitions artistiques, et non l’inverse. Jean-Daniel Pollet cherchant à réconcilier l’art populaire et l’exigence avant-gardiste à une époque où la possible évidence de leur coexistence au cinéma s’est perdue…
Comment de telles démarches, regardées comme des utopies, internes au cinéma examiné comme art, peuvent-elles s’unifier – ou pas – pour enrichir nos regards sur son histoire en même temps qu’apercevoir des possibilités à défricher et élargir pour ses développements à venir ? À l’heure où les développements techniques numériques facilitent la production des films, selon quelles ambitions renouvelées une nouvelle époque de l’art du cinéma peut-elle s’ouvrir ?
Le programme de la journée est disponible en téléchargement.
Elle explorera plusieurs propositions d’élargissements des ambitions artistiques du cinéma à partir de démarches singulières. Ainsi : Abel Gance, après son monumental Napoléon vu par Abel Gance (1927), cherchant à repousser ses limites techniques en déployant des inventions techniques commandées par les ambitions artistiques, et non l’inverse. Jean-Daniel Pollet cherchant à réconcilier l’art populaire et l’exigence avant-gardiste à une époque où la possible évidence de leur coexistence au cinéma s’est perdue…
Comment de telles démarches, regardées comme des utopies, internes au cinéma examiné comme art, peuvent-elles s’unifier – ou pas – pour enrichir nos regards sur son histoire en même temps qu’apercevoir des possibilités à défricher et élargir pour ses développements à venir ? À l’heure où les développements techniques numériques facilitent la production des films, selon quelles ambitions renouvelées une nouvelle époque de l’art du cinéma peut-elle s’ouvrir ?
Le programme de la journée est disponible en téléchargement.