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Images en transit - Trans-ports, Destination(s), Ex-positions dans un contexte numérique
Publié le 2 mars 2017 – Mis à jour le 11 février 2019
le 17 mars 2017
de 9h00 à 17h30
Les Abattoirs-Frac Midi-Pyrénées
Auditorium
76 allées Charles de Fitte - Toulouse
(Métro Saint-Cyprien)
Journée d'étude
Dans la ligne de recherche portant sur les « images en transit », après l’exploration des possibilités de réarticulation des images par les pratiques artistiques vidéos (2015), cette journée d’étude a pour but de questionner les trajectoires et la destination des images passant dans nos circuits de communications, nos subjectivités, nos espaces.
Aujourd’hui plus que jamais, nous vivons parmi et à travers les images. Si cet environnement n’est pas nouveau, l’une des différences essentielles est certainement le mouvement des images, la rapidité avec laquelle les unes remplacent les autres sur les « murs » comme sur nos écrans, en des flux qu’il devient de plus en plus difficile de saisir. Ces images accumulées constituent une sorte de mémoire vive sans cesse éditée par le geste cumulatif de l’ajout, que viennent sanctionner le « like » et/ou le partage.
Nous rassemblons ces états et gestes hétérogènes de circulation sous le vocable de « transit » qui associe des connotations spatiales (les images traversent nos espaces), temporelles (les images ne restent pas, sont appelées à bouger encore) et symboliques (image voyageuse ou vagabonde, traversant tous types de frontières). La question n'est donc plus ici celle de la prolifération des images mais de leur destination et de leur assignation, qui sont instables, variables, multiples, sur lesquelles le producteur, que ce soit dans des pratiques vernaculaires, amateures ou dans des pratiques artistiques utilisant le web n’a que peu – voire pas du tout – de contrôle. Plutôt que de nous interroger sur l’origine de l’image, nous nous pencherons sur son/ses point(s) d’atterrissage, ses sauts d’un champ à l’autre, ses rebonds et re-directions, y compris, curieusement, vers de traditionnels lieux d’exposition.
Pour consulter le programme de la journée, merci de cliquer ici.
Aujourd’hui plus que jamais, nous vivons parmi et à travers les images. Si cet environnement n’est pas nouveau, l’une des différences essentielles est certainement le mouvement des images, la rapidité avec laquelle les unes remplacent les autres sur les « murs » comme sur nos écrans, en des flux qu’il devient de plus en plus difficile de saisir. Ces images accumulées constituent une sorte de mémoire vive sans cesse éditée par le geste cumulatif de l’ajout, que viennent sanctionner le « like » et/ou le partage.
Nous rassemblons ces états et gestes hétérogènes de circulation sous le vocable de « transit » qui associe des connotations spatiales (les images traversent nos espaces), temporelles (les images ne restent pas, sont appelées à bouger encore) et symboliques (image voyageuse ou vagabonde, traversant tous types de frontières). La question n'est donc plus ici celle de la prolifération des images mais de leur destination et de leur assignation, qui sont instables, variables, multiples, sur lesquelles le producteur, que ce soit dans des pratiques vernaculaires, amateures ou dans des pratiques artistiques utilisant le web n’a que peu – voire pas du tout – de contrôle. Plutôt que de nous interroger sur l’origine de l’image, nous nous pencherons sur son/ses point(s) d’atterrissage, ses sauts d’un champ à l’autre, ses rebonds et re-directions, y compris, curieusement, vers de traditionnels lieux d’exposition.
Pour consulter le programme de la journée, merci de cliquer ici.